V I S I T E G U I D É E M Â L I Q U E
For Voice. Ad lib. with instrumental accompaniment.
STEVEN PRENGELS (Aug.2008/ version Sept.2009)
Visite Guidée Mâlique is my rendition into French of pages 8 to 10 of James Joyce’s Finnegans Wake, as seen from the perspective of Marcel Duchamp’s Large Glass (The Bride Stripped Bare by her Bachelors, Even, 1915-23). The connections that I have created between Joyce and Duchamp do not hold a claim to any general validity, nor do they seek to embody one. As a matter of fact, between these two artists there exists no connection whatsoever relevant to this undertaking. Yet, my choice to create them anyhow is to be considered as a creative act. As such its only necessary justification lies in this artistic choice.
Instructions for Performance:
1. In case of a personal performance (i.e. without a public): Ad Lib. Read the text (in silence or aloud) at the piano (or any other instrument). Replace each ★ by an E (short or longer (ad lib.), in different octaves (ad lib.), in multiple octaves (ad lib.)
2. In case of a public performance : Read the text (aloud). The accompanist (preferably a pianist) replaces each ★ by an E (short or longer (ad lib.), in different octaves (ad lib.), in multiple octaves (ad lib.)
VISITE GUIDÉE MÂLIQUE
A Guided Tour (by nine Malic Moulds) through Marcel Duchamp’s Large Glass
‘The Bride Stripped Bare by her Bachelors, Even’
Based on James Joyce’s Finnegans Wake (« The Willingdone Museum »)
Pour son clavail, lance le regard suppliant à la clavelière, la maistresse Mariole. ★
Par ici pour le muser-chambril. En entrant, attention à la tête, s'il vous plaît! Maintenant vos êtes au cimetière Muser-Chambril. Là-bas un Fusil-Gabierit. Ça, c'est une franc-sein. ★ Voici le pasvois des Gabierits, capillaire et sorcé. Voici le coup tringlant le pasvois des Gabierits. Voici la franc-sein qui tirait aux Crétiens qui tringlaient la mariée-salope des Gabierits. Chand du Salier! En garde! À coups de tringles! ★ (Doble penitance!) Voici le triple couvre-chef de Mariole. ★ Couvre-chef mariolé. Voici le cimetière des soubresauts, les Mâlinois. Voici le grand cimetière mâlée, élevé et âguichant dans ses épilones et cuirasses d'orure et ses châssis volatils et ses parties adorées et ses meilleurs costars et prophylaxie décevante et ses rencontres médéiques. Voici ses Soubresauts rrougis. ★ Voici le triple hallocution-mariole descendant sur le cimetière collant. Voici les muser-chambriliens, c'est un groupe d'entraide, des mâlinois dociles. Voici la grant Mariole, serrant la Bride aux mâlinois vides. Une ratiocination lacticienne. Voici le cimetière mâriolique exigu, ni rassisié, ni répidié. À l'Enverre! À l'Enverre! Doblet Tom-Fiz. Fieu Bassein le Salo. Et Henri-Hâte Fiston. Tous des cavaliers armés. Voici l’horizon d'Antéros. Voici Mont-Wilson, voici Mont-Lincoln, voici la grande Mont-Venu. Voici l'horizon caréné embrassant les trois marioles. Voici les gazeuses avec ses louvains, qui semblent à être mâlées, tandis qu'elles déclarent le combatour au cimetière. Les gazeuses se fourrent la guêpe et les gazeuses jouent du rapt et le cimetière s'attise. Voici l'emmense bail du cimetière à côté des flancs des gazeuses. Force mâlinique s'exclame. ★ Voici mes Maroles qui entrent furtivement ses mâlinie, à partir de ses affreuse machinerie vaporeuse. Sincliné. Voici la missive des gazeuses pour irriguer le cimetière. Missive aux filets rrouges transpire les thorax des Maroles. Ben oui, ben oui, ben oui! l'Iber Râtise. Angloisse Triomphale! Filette ça vachi. Faire s'embrasser. Mar. Ç’était les tictaques des gazeuses pour enverser le cimetière. Ell, el, lelle! Les gazeuses sont jaleuses comme battrant toutes les marioles. Et les maroles devenaient mâlfous du seul cimetière. Et le cimetière s'attise. Voici le corsier marolique, pompé pour pomponner, épésant en camelote l'entame du cimetière. Voici les buses vidanges du cimetière. Vantardise aux régions derrières du cimetière. Chastation! Ai, ai, ai! Maroles purceaux. Fichtoi! Ça me Foutrien. Cimetière. Ç’était la première farce du cimetière, tac-tiqueurs. Lui, luis, luit! Voici les Maroles distants, hommes ni scient, crient et l'emporte devant tout, faissant de son mieux lutte pour les gazeuses. Trempe tes lèvres, tramp t'élèves, car elle vint du gros rouge plutôt qu'elle âgisse de mêlé. Voici le tir gabarelle. Voici une franchée. Voici des tirs mâliques. Voici Cañon à Chair avec le nez giclé. Après l'indulgence centaire. Voici le bénit. Fille à Delphi! Voici les gazeuses aux patins paillard-disants. Voici Mariole au ménage tapageux. Voici le cimetière, pour la moure mâline, ouvre le feu. Bamsterdam! (Doble penitance! Fiche-toi!) Voici la chavalerie, voici en tripied, voici la crasse en action, voici leur remue-ménage, voici flammique. Broyeusement! Choque au-delà! Voici le cimetière criant. Bou! Bou! Boboue! Voici les gazeuses criantes. Éclage! Lire de dieu! Voici les gazeuses évitant la bataille dans l'abri. Bon bonnie Buon et To Torrie Tour en l'air. Car leurs coeurs se trouvent jusque là. ★ Pour le paix! Voici la marche du Gabar joyeuse des gazeuses qu'ils abandonnaient. Voici le cimetière assouvant ses mêmes bails immenses pour son division royale au gazeuses courantes. Clairmond Rougelle! Quedalle de la Reine! Voici la plus minore des marioles, voleurs de mou, cette espionne au cimetière des soubresauts, les Mâlispoirs. Contre-cimetière est un matrimon élevé ancien. Les Marioles est jolie repriseur pendu. Voici objet-fammelette moquant tout haut du cimetière. Voici terrain labile guerrant la brille de la fammelette. Voici la fleur de lit entre le gars labile et la fammelette. ★ Voici le vieux cimetière déniche la moitié au triple couvre-chef de Mariole à partir des crasses abusives. Voici la fleure encroîtant la quais pour un éclat-bombe. Voici le cimetière écheveau la moitié du couvre-chef de Mariole à la queu l’envers du Soubresauts. ★ Ç’était la dernière farce du cimetière. Touche, touche, touche! Voici le Soubresaut du cimetière, Mâlinoix, même, glissant sa bail avec la moitié d’un couvre-chef de Mariole vexant au fleur-gabier. Ahan, ahan, ahan! (Doble penitance! Triche!) Voici le gâbier, piès de taché, bondu et gailli, criant au cimetière: En gars! A tant! Voici le cimetière, noblier gantique, enflamme son boîte à gand au Roussi Rougit. Voici le gâbier rempli faisant à la queue des Soubresauts. ★ (Doble penitance! Partouse!) Comment les Mâlinois terminèrent. Par ici le muser-chambril. En sortant, fais attention à vos patins.